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| Sujet: Loupiotte ~ Jeu 14 Juil - 18:14 | |
| J'Écris ~ Parce que l'Écriture, on est encré dedans 8D PUF d'Écrits • Plume d'Ange Encre & Papier, Pixels & Clavier ? • Les deux ^^ Niveau • Petite guerrière ? :3 Temps depuis lequel vous écrivez • Depuis toute petites ^^ 4 Exemples de Textes • ... [Désolé pour la non-mise en forme des textes... ^^")
- Spoiler:
Tel que je me vois... Ou tel que je suis ?
J'ai eu quinze ans il n'y a pas si longtemps, un âge qu'on oublie facilement et où tout paraît plus compliqué. Je ne complexe pas trop sur mon physique ; en fait, ça dépend des jours. On m'a souvent répété que j'étais assez grande pour mon âge, mais j'estime que ma taille est dans la moyenne. Mes cheveux sont longs et bouclés. J'étais rousse de naissance, mais mes cheveux ont blondis. C'est l'un des traits de mon physique que je préfère chez moi, bien que cette tignasse me cause parfois pas mal de soucis. Je ne jugerai pas les trais de mon visage comme étant ''fins'', car, à vrai dire, c'est ce dernier qui me cause le plus de soucis. Il y a des jours où je me trouve d'une laideur repoussante, et d'autre où je me dis que finalement, ça peut aller. Juste en regardant mon visage. J'ai quelques boutons d'acné, comme la plupart des filles de mon âge, que je tente d'effacer avec un peu de fond de teint. Mon visage est plutôt ovale, parsemé de tâche de rousseur, mon nez de taille normal et mes lèvres rosées ne sont ni trop grosses, ni trop fine. Mais ce que je préfère chez moi, avant tout, ce sont mes yeux ; ils sont d'un beau bleu que j'aime énormément. Il y a une chose chez moi sur laquelle j'ai un avis réservé : ma peau. D'un côté, je ne l'aime pas, de l'autre si ; elle est d'une pâleur plutôt étonnante (que j'apprécie), et ce toute l'année. C'est bien là mon problème ; elle ne veut pas bronzer ! Elle ne fait qu'attraper des rougeurs, pour me déplaire... Je ne suis pas fine, mais je ne suis pas grosse non plus. Je pense me situer dans la moyenne. Du côté de mon caractère, je pense être une personne ouverte et plutôt agréable. Je veux dire par là que je me fais rapidement beaucoup d'amis, bien que je ne partage pas une amitié exclusive avec tous, et j'ai relativement peu d'ennemi. Je suis quelqu'un d'assez timide avec les gens que je ne connais pas, où peu. Je suis assez maligne, et suis une fille qui aime beaucoup rire. J'aime faire plaisir aux gens, et lors d'une dispute, j'essaierai d'apaiser les tensions. Malheureusement pour moi, cela ne fonctionne pas toujours très bien, et je me retrouve moi-même au milieu de ce conflit... Sinon, je suis à l'écoute des autres, et voue une confiance sans borne à mes meilleurs amis. Je suis assez rêveuse, et comme je ne peux pas changer le monde à ma façon, j'aime écrire, lire et dessiner. Je suis fascinée et passionnée par tout ce qui touche la fantasy, la mythologie... En particulier par les Dragons, les Griffons et autres créatures dans le genre. Je rêve trop, je me le reproche d'ailleurs souvent, car parfois la réalité brutale blesse plus que d'habitude. Je suis une fille très sensible, et je pleure pour un rien (surtout devant les films où les livres). Par exemple, ce n'est pas très glorieux je sais, j'ai pleuré à la fin du Disney La Belle et la Bête. Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut-être parce que je venais de pleurer quand la Bête se meure et que Belle veut la sauver, mais la joie et la douce musique de la fin de ce long-métrage m'ont fait monter les larmes. C'est assez embêtant, parce que je mets à pleurer devant presque tous les films... Ce que j'aimerais ne pas être si sensible ! Par contre, dans la vie de tous les jours, c'est une autre affaire. Je suis assez forte mentalement, et va de l'avant après chaque échec, même si je passe quelques minutes, voir quelques heures à ressasser cette défaite. Je n'aime pas trop pensé au passé, et pourtant, il m'arrive, le soir, de m'attarder sur des moments très brefs en me sentant sotte d'avoir réagi comme ça. Cela me fait stresser pour rien, d'autant plus que la plupart des personnes à qui j'ai eu affaire à ce moment-là ne s'en souvient plus... Je pense que je ne suis pas une fille bien exigeante. Je travaille convenablement, pour ma réussite futur. Pourtant, je suis très tête en l'air, et chez moi, un oubli est fréquent. J'ai trop la tête dans les nuages, à chercher l'inspiration. Quand elle me vient soudainement, j'ai presque l'impression de n'être plus là ; je vois et revois une scène dans ma tête, impatiente de pouvoir la coucher sur papier. C'est un de mes pires défauts, je crois. Je suis également assez curieuse, et ça m'a déjà attiré quelques ennuis. Je suis d'un naturel calme et je rougis très facilement, mais quand on me pousse à bout, je vais entrer dans une colère noire pendant quelques temps. Je m'en veux toujours énormément après une dispute, heureusement que ça ne m'arrive que très rarement.
Me voici tel que je me vois personnellement. Suis-je comme ça ? Seul toi peu en juger.
- Spoiler:
Prologue Ce fut par une belle journée de printemps que naquit, bien à l'abri de cette monstrueuse guerre, la petite fille qui était destinée à être une belle et obéissante femme. Ses parents, roi et reine du Royaume d'Edelweiss, regardait leur petit poupon, sur lequel venez de se poser un magnifique papillon doré. Il étira ses ailes qui chatouillèrent les joues de la petite fille, qui éternua avant de gazouiller. Le soleil qui dardait ses rayons sur les beaux jardins semblait veiller également sur le bébé. Le papillon finit par s'envoler lentement, et rejoint l'ombre des arbres. Si le roi, la reine, ou même le soleil avait, à ce moment, suivit la course du papillon, ils auraient put le voir disparaître, éclatant en des milliers de petites poussières dorées. Mais qu'importe de savoir ce détail... Ce n'est vraiment pas important.
La jeune enfant, grandissant un peu plus tous les jours, éveillant son esprit, devenait intelligente et malicieuse. Les fleurs et les papillons la fascinait terriblement. Elle pouvait rester des heures, assise dans un champs de fleurs, à observer les tiges qui se courbaient légèrement sous la brise, et les papillons qui virevoltaient partout. Puis, comme tout enfant de quatre ou cinq ans, elle se levait et courait dans tous les sens, en asseyant d'attraper les petits insectes volant. Elle espérait un jour voir un papillon doré, comme ses parents le lui avait décrit. D'une beauté inouïe, empreint de grâce et d'innocence...
La jeune Béatrice enchaînait les cours de danse, de beau langage et tous ces autres enseignement qui ne serve pas forcément à grand chose, si ce n'est à paraître noble, à toujours mieux faire partie de la noblesse. Malgré tous ses enseignements, elle aimait se balader, courir dans les petits bois de la grande demeure, et toujours rêver devant les portails du château, qu'il lui était formellement interdit de franchir...
L'éveil « Où est-elle encore passé ? » s'enquit une jeune femme. Quand elle se retourna, tous distinguèrent clairement la fine couronne de cristal qui était posé sur son crâne. La reine marchait de long en large, inquiète. « La Princesse est encore devant les portes. » fit une jeune servante. La reine la foudroya du regard. Mais elle s'adoucit bien vite, la remerciant. « Elle doit guetter le retour de la chasse... Merci, Shannon. »
Béatrice avait dix ans se jour là. Assise sur une branche solide, près de la porte de l'Est, elle guettait les chasseurs. Son père, le roi, était partit avec eux ce matin. Mais au-delà de l'attente, la porte la narguait. Entièrement ouverte, elle n'était pour Béato qu'une fenêtre vers le monde. Elle sauta de sa branche et se réceptionna gracieusement au sol. Elle s'approcha de la porte, et ses doigts glissèrent le long de la porte. Elle entendit le martellement des sabots et sourit. Enfin les chasseurs revenaient ! Elle se risqua à sortir, et chercha du regard son père. Mais il n'y avait rien, nul part. Elle soupira, et recula. Elle regarda en direction du château. Shannon, jeune servante, courrait en sa direction sans vraiment le savoir. Elle criait son nom. Béatrice n'avait aucune envie de rentrer. Elle se glissa sur le côté, et s'enfuit en courant. Ses pas la menèrent aux jardins, dans le grand champs de fleurs. Pourtant, aucun papillon ne volait. Elle s'avança, un long frisson courant le long de sa colonne vertébrale. Soudain, d'entre les feuilles, un magnifique papillon doré s'éleva.
La jeune fille recula d'un pas. L'insecte était magnifique, et semblait tellement fragile. Il volait en direction de Béatrice, qui n'osait plus bouger, retenant son souffle. Le papillon se posa sur son nez, et, étirant ses ailes, cacha la vue de l'enfant. Elle leva lentement les mains, et attrapa le papillon. Un sourire aux lèvres, elle murmura :
« Attrapé... »
Le papillon se dispersa à nouveau en une pluie de poussière doré, qui se mit à tourner autour de la princesse. Elle restait immobile, terrorisée. Les poussières pénétrèrent le cœur de l'enfant, et tout se calma.
« Princesse ! » Shannon arriva en courant auprès de Béatrice, essoufflée. « Princesse... Vous allez bien ? »
Béatrice mit du temps avant de répondre. Elle regardait ses mains, qui luisaient faiblement. Finalement, elle sourit à la servante et la suivit docilement.
Sorcière Dorée Depuis ce jour, Béatrice fut bien moins appelée par le monde, les fleurs où les papillons. Ses enseignements continuaient, noblesse oblige. Mais dans sa chambre, elle s'adonnait à sa nouvelle passion : la magie. Celle qu'elle possédait était sans limite. Elle contrôlait tout, même la mort et la vie. Gentille fillette, jamais elle n'a penser utiliser ses pouvoirs pour se venger où tuer. Ni même pour se défendre.
Jeune adolescente de quatorze ans, elle utilisait énormément sa magie pour s'embellir et aider les gens. Elle devenait le centre de toute les conversations ; ceux qui la voyait au bal pensait voir une nymphe. Envoûtante, charmante, gentille, attendrissante... Mais surtout pas provocante ! Les petites futilités de jeunes courtisant maladroits étaient bien vite régler ; aussi un jour, alors qu'un Roméo courtisait sa belle Juliette, et qu'il renversa son verre de vin sur la robe de cette dernière, Béatrice essuya bien vite la bêtise, et la robe de la jeune femme était comme neuve (et peut-être même plus belle encore).
Béatrice découvrait de plus en plus l'étendue de ses pouvoirs infinis. Elle ne savait ni pourquoi, ni comment elle avait réellement écopé de ces pouvoirs, et elle ne cherchait pas spécialement à le savoir. Au fond d'elle, Béato savait que le papillon doré y était pour quelque chose. Les questions qu'elle se posait réellement était : Pourquoi elle ? Comment ? Qui ?! Bien évidemment, elle ne pouvait pas y trouver de réponses. Les années passaient, et la jeune fille retrouva son envie de découvrir le monde. Plus forte était cette envie. Bien évidemment, ni son père, si sa mère ne l'y autorisaient.
Le Ravin Ce fut depuis le retour de cette envie que Béatrice commença à sombrer, lentement mais sûrement. Elle avait dix-huit ans, crotte ! En plus, elle se servait de magie ! La magie de Béatrice commença à s'assombrir. Elle tenta plusieurs fois de s'échapper de sa prison dorée, mais elle se faisait attraper. A chaque fois. Sa seule chance de sortir fut un jour de chasse. Particulièrement, celui de la Grande Chasse. Elle avait tout programmé ! Sa magie avait créer une illusion, et elle semblait alors lire dans son lit. Arrivée à la porte, elle jubilait presque. Alors qu'elle allait franchir la porte, Shannon, sortit d'on ne sait où, lui bloqua le passage, une épée légère en main.
« Je suis désolé, Princesse... Vous ne devez pas franchir cette porte. - Laisse-moi passer, Shannon ! - Je suis navré, Mademoiselle, les ordres sont clairs. - Shannon ! - Je connais votre secret, Mademoiselle. »
Béatrice esquissa un sourire des plus sadiques.
« Ha ? Vous le connaissez... Et bien, tant mieux ! »
L'épée que tenait la servante éclata subitement. La jeune femme poussa un cri de surprise.
« Tu le connais, hein ? Tu le connais... Mais tu n'en connais ni la puissance, ni la beauté ! - La beauté ? Princesse, il n'y a plus de beauté dans votre magie à ce jour ! - Comment oses-tu insulter ainsi le Papillon Doré ? » Hurla Béato « Et toi ? Quel est ton pouvoir ? Ton corps ne vieillit pas, c'est ça ? »
Shannon hocha la tête. Et recula.
« Reprenez-vous, Mademoiselle... Votre magie était si pure. Les ailes de ce papillon sont à présent teinté de pêché ! »
Béatrice fit une horrible grimace, et la servante se changea subitement en labrador, se mettant à grogner. « Ho ! » fit Béatrice avant de rire sadiquement. La jeune princesse fit apparaître une longue et fine baguette. Faisant des petits moulinets, elle regarda Shannon avec un grand sourire. Soudain, le chien se mit à gémir et à se tordre.
« Souffre ! Souffre comme mon âme à souffert d'être enfermée, étouffée par tant d'obligations ! »
Béatrice poussa un nouveau rire des plus sadiques.
« Redeviens humaine, sale chienne ! Toi en qui j'avais confiance, tu as finis par me trahir ! »
La jeune femme reprit sa forme humaine. Elle se tenait fermement la gorge, et devenait rouge. Décrétant que ce n'était pas amusant, Béatrice relâcha la pression qu'elle exerçait sur la gorge de Shannon. Cette dernière pris de grande bouffées d'air avant de s'asseoir, tremblante.
« Une seule fois, j'ai franchie cette porte. J'avais dix ans, je pensais que mon père revenait de la chasse. J'ai fais un pas à l'extérieur, et, ne voyant personne, en obéissante fillette, je suis rentrée. Quand je t'ai vu accourir, je me suis enfuie vers les jardins du château. C'est depuis ce jour que je suis une sorcière, Shannon. C'est un peu grâce à toi, que je suis la Sorcière Dorée ! - Béatrice... Votre magie était si belle... Reprenez-vous. Je vous en supplie... - Tu me supplie ? Ah ! ah ! Ah ! A genoux, serviteur ! »
Shannon se retrouva aux pieds de Béatrice.
« Tient. Tu seras celle qui me verra franchir cette porte ! Avance. Suis-moi. »
Des menottes dorées apparurent, enchaînant les mains de la pauvre Shannon. Béatrice sortit voir le monde, et s'avança. Elle marcha durant une heure et arriva finalement devant un petit ruisseau. Elle s'extasia devant, n'ayant jamais connus d'endroit si beau.
« Vous êtes encore une enfant, Princesse... - TAIS-TOI ! - Regardez-vous... Vous ne connaissez rien au monde... - Ferme là et meurt ! Shannon, sois maudite ! MEURT !!! - Vous avez été... Maudite... Princesse... En faisant ça... Mais vous pouvez vous... En sortir... »
Le corps de Shannon fut pris de violents soubresauts, et elle explosa finalement, envoyant une cascade de sang autour d'elle. Béatrice était également couverte de sang. Du sang de Shannon. Le sang d'une innocente, qu'elle venait de tuer. Béatrice aurait dut s'écrouler et pleurer. S'injurier et se maudire. Au lieu de quoi, elle esquissa un nouveau sourire et fut prise d'une violente crise de rire. Le corps de Shannon était méconnaissable, dispersé un peu partout.
« Dommage... Un si bel endroit, enlaidie par ce cadavre puant... Mouhahahahaaaa ! »
Béatrice haussa les épaules, et retourna au château. ۞
La magie de la jeune princesse devint définitivement noire. Il était rare qu'elle ne passe pas une journée sans goûter au sang. Parce que quelqu'un lui avait déplus, ne l'avait pas écouté... Mais personne ne savait qui était l'auteure de ces crimes. Et le monde était bien loin de s'imaginer que leur si belle et gentille princesse était devenue une terrible meurtrière...
Mort Le jour où Béatrice signa sa mort était pourtant un magnifique jour d'été. Elle avait fêté ses vingts ans un peu plus tôt. On retrouva dix personnes mortes, et l'on crut à un attentat du royaume ennemi. La jeune femme formula son envie de découvrir le monde. Seule, ou accompagnée. Elle savait pertinemment que si elle était accompagné, ils seraient agressaient et seule elle survivrait car... Elle serait l'agresseur. Mais, à nouveau, ses parents lui interdirent formellement de sortir.
Béatrice entra dans une colère noire. Elle ne se contrôlait plus, et une rafale de vent pénétra dans la pièce. Dehors, l'orage grondait alors que quelques instants plus tôt, le ciel était bleu et le soleil chaud. Son père se leva de sa chaise, et une pointe de fer s'enfonça profondément dans sa main. Il regarda sa fille, en comprenant. Mais avant qu'il n'ai put dire quoi que se soit, son bras se détachait de son épaule, et il hurlait de douleur. Un à un, il perdit ses membres et se vida de son sang. Il mourut finalement quand sa tête tomba, roulant au sol. La reine était immobile, terrorisée. Elle finit par hurler de désespoir.
« NOOOON ! Qui a fait ça ?... Qui ?! - Moi. - Bé... Béato ?! »
La jeune femme éclata d'un rire sonore. Sa voix changea brusquement. Une ombre s'étendit derrière elle. Des ailes noires comme la nuit, terrifiante comme les ténèbres, décidée comme la mort s'étendirent derrière la jeune femme. Un papillon noir sortit du dos de la jeune princesse qui poussa un gémissement. Elle sentit ses forces l'abandonner. Un papillon plus petit, doré, gisait au sol.
Béatrice cligna des yeux, et regarda son père. Elle pris conscience de ses actes, et hurla avant sa mère.
« Non ! Tu m'as trahi ! Tu m'avais juré que, tu... »
Elle voulut s'attaquer au papillon noir, mais un « splach » détourna son attention. Sa mère venait d'exploser comme Shannon, deux ans plus tôt. La jeune femme fut prise d'une violente envie de vomir, et un flot de larmes s'échappa de ses joues.
« Je n'ai plus besoin de toi. » fit une voix métallique.
Béatrice regarda l'énorme insecte noir. Le petit papillon doré qui gisait au sol s'illumina faiblement. Béatrice le regarda.
« J'ai... J'ai quitté la voix... Je... »
Elle se retrouva propulsé loin du papillon qui était son ami. Celui qui lui avait procuré ses pouvoirs, et qu'elle avait abandonné pour en avoir plus, pour avoir le contrôle de la vie et de la mort. Soudainement, elle sentit son sang s'agitait dans ses veines, et elle le sentait couler de sa bouche, de ses narines et de ses oreilles. Juste avant de sombrer, une lueur blanche passa devant ses yeux. Puis ce fut le vide complet. Le noir et le froid. La mort. Tuée par sa propre magie...
Renaissance « Elle a bougé ! »
Béatrice toussa légèrement. Qui avait parlé ? Elle tenta de se relever, mais sa tête tournait. Un jeune homme arriva à son chevet, et la rallongea. A ses côtés se tenait une jeune femme.
« Où... Où suis-je ? »
Béatrice ne se souvenait plus de rien. Tout juste de quelques bribe de sa vie. Elle sentait en elle se battre deux entités. Le bien et le mal. Le jeune homme, après s'être brièvement présenté, lui raconta tout ce qu'elle avait à savoir sur sa vie. Elle ne comprenait pas vraiment, mais au fur et à mesure, les souvenirs lui revenait. Elle avait accueillit en elle un papillon doré, mais sa haine et sa colère donnèrent naissance à un papillon noir, qui fut alimenté de jour en jour par cette envie de vengeance, et qui avait finit par prendre le dessus sur elle. Elle comprit à présent les dernières paroles et le sacrifice de Shannon. Béatrice s'effondra sur son lit et frissonna. Elle s'horrifiait autant qu'elle trouvait ses actions normales. Libérée, son caractère était devenue bipolaire. Elle pouvait être tendre comme un agneau, et sadique comme le loup qui l'attire dans ses griffes pour le manger. Son caractère devenue lunatique, et ses pouvoirs réduit de trois quarts, on la surnomma à présent Sorcière de la Nuit.
Ascension La mort de ses parents attrista tout le royaume, mais l'affaire fut tue. Personne ne sut jamais qui avait tué le roi et la reine, la princesse n'étant d'ailleurs pas vraiment consciente de ses actes au moment du meurtre.
Après un deuil qui dura deux mois, Béatrice prit le trône. Au départ, elle ne se sentit pas de taille. Mais son côté déterminé et légèrement sadique en fut comblé. Si ses petites crise dut à son caractère lunatique pouvaient être terrifiante, elle gouvernait son royaume avec justice et détermination. Tout ce qu'elle entreprenait, elle le faisait pour le bien de ses sujets. Ses deux caractères étaient comblés : son côté tendre s'affairait au bien du royaume, tandis que le sadique s'amusait de tout son soûl à concocté des coups tordus et sanglant envers les ennemis – coups qui, pour la plupart, était irréalisable ou qu'elle ne désirait tout simplement pas mettre en place, par respect pour ses sujets.
A vingt-cinq ans à présent, Béatrice c'est remis de son accident, mais ses pouvoirs s'en trouve toujours bien diminué, et elle ne sait pas si elle pourra de nouveau les maîtriser complètement. On ne l'appela alors plus Sorcière de la Nuit, mais Reine de la Nuit. Car la nuit est aussi sombre que peuvent l'être les ténèbres, mais également aussi douce et belle que les étoiles qui illuminent le ciel nocturne...
- Spoiler:
C'était une belle matinée d'hiver, du temps ou la France était sous l'Occupation. Peut-on, alors, la qualifiée de belle ? Certes non, pour certain. Mais, reprenons, voulez-vous ? La neige avait recouvert la ville de Paris, et peu de gens se déplaçaient dans la rue. Dans l'ombre des vieux sous-sols de la ville, les résistants travaillaient activement. Mais qu'importe, ceci est une autre histoire. Manon, jolie jeune fille aux cheveux bruns, marchait dans les rues, un panier à la main. Celui-ci était remplit de fois-gras, canard et de cidre, autant de bonnes choses pour fêter un noël merveilleux ! Manon, notre jeune amie, était un peu rêveuse. Elle avait souvent la tête dans les nuages, rarement les pieds sur terre. L'Occupation ne l'affectait pas tellement, du moment qu'on la laissait écrire ses romans à l'eau de rose ! Et puis, tous les Allemands n'étaient pas si méchants. Il y avait le beau Frank, et ses amis, Karl et Hanz. Du reste, elle était peu informé. Pas nazie, mais pas résistante. Juste humaine. Elle s'arrêta devant une belle maison, toqua doucement à la porte. Une vieille femme en tablier vint lui ouvrir en souriant, avant de lui mettre une couverture sur les épaules. « Jeune fille, il n'est pas prudent de se promener dans les rues, ces temps-ci... - Mais, Rosalie... Je n'ai rien à craindre. - Oui, oui... » La vieille femme d'entretien soupira. « Si seulement c'était vrai... » Manon haussa les épaules, et posa son panier sur la table de la cuisine. « Manon, allez donc vous laver... Frank devrait arriver dans une bonne demi-heure. » Un grand sourire éclaira le visage de la jeune femme, qui monta les escaliers de sa grande demeure quatre à quatre, avant de se laver et de s'habiller. A peine avait-elle mis le couvert que le son tant attendu de la sonnette retentit dans la maison. Elle se précipita sur la porte pour ouvrir à son ami. En le faisant entrer, le visage lumineux, elle vit des passants la regarder d'un air sombre. Elle n'y fit pas attention. Le dîner se passa le mieux du monde. Manon proposa à Frank de fêter noël avec elles, et que, s'il le désirait, il pouvait amener ses amis. Il accepta, bien évidemment. Quand il partit, la jeune femme soupira et s'assit dans un fauteuil. Rosalie lui apporta le café, et s'assit en face d'elle. « Frank... Je ne peux plus me passer de lui, Rosa'. C'est absurde ! - Non, c'est l'amour, mademoiselle. - Sans doute. » Elle sourit. « En tout cas, Noël sera heureux ! - Oui, certainement... » Ho oui... Noël aurait put être heureux... Deux jours plus tard, Manon se promenait, comme à on habitude, dans les rues presque déserte. Tous les matins, elle allait au marché. Le chemin était assez long, mais familier. Elle qui ne prêtait pourtant pas vraiment attention à l'Occupation n'appréciait pas pour autant le Q.G. De la Gestapo, devant lequel elle devait passer chaque matin. Justement... Se fut à cet instant que son destin bascula. Elle entendit des cris, des vociférations, et sorti de sa bulle. Quelqu'un l'attrapa pas le bras et l'entraîna en arrière. Soudain, une explosion retentit à l'intérieur de la Gestapo, qui s'embrasa subitement. Sous le choque, la jeune femme ne se débattit pas. Quelques instants plus tard, elle et ses agresseurs étaient entourés par les Allemands, qui les emmenèrent... On ne sait où... Manon ne put se retenir, et s'évanouit. Quand elle s'éveilla, il faisait sombre. Sombre et froid, le sol était dur et régnait dans la pièce une odeur de mort. Un couinement la fit sursauter, et elle poussa un cri de stupeur en voyant un rat s'enfuir. La jeune femme se recroquevilla, observant son nouvel environnement. Elle était seule dans une cellule. Où ? Elle ne savait pas. Par contre, elle n'était pas seule dans cette prison. Manon entendait des murmures, des voix à peine audible souffler ''Elle aurait pas dut être là'', ''Elle est pas des notre''... Puis une lumière perça les ténèbres, peu à peu. Deux hommes ouvrir sa cage. Manon se leva lentement, et fit quelques pas hésitant vers eux, avant de se précipiter à leur rencontre. C'était des Allemands au regard froid et féroce. Il lui attrapèrent les bras et la traînèrent dans quelques couloirs sombres, avant de pénétrer dans une pièce tout aussi laide. On l'allongea sur une table de pierre sans ménagement, et on t'attacha avec force. Manon regardait autour d'elle avec une certaine peur. Que se passait-il ? Elle rêvait, ce n'était pas possible autrement ! Les deux Allemands reculèrent, pour en laisser passer trois autres. Et parmi eux, elle reconnu Frank. Son visage s'éclaira, et elle sourit même. Enfin, elle allait être sortie de ce mauvais pas ! Mais son cher Frank la regardait, abasourdit, triste... Elle tenta de s'asseoir, mais ses liens l'en empêchait. « Frank ! C'est moi, Manon ! Aide-moi, je ne comprends rien ! » Le jeune homme blond braqua ses yeux bleus sur la jeune femme. D'une voix cassé par l'émotion, il murmura : « Manon... Je suis... Déçu... » Manon ne comprenait vraiment plus rien. La bouche entrouverte, elle se débattait sur la table et contre les cordes qui la retenait prisonnière. Comment l'avait-elle déçue ? Qu'avait-elle fait ? « Frank... Qu'ai-je fais ?! - L'explosion de la Gestapo ne te rappelle rien ? - L'explosion de... - Tu étais avec les résistants ! Depuis le début, tu m'as menti ! - Frank... Tu ne crois tout de même pas que... » L'un des deux hommes fit un signe de la main, et Frank se retira, les larmes aux yeux. Non ! Cela ne pouvait pas se passer comme ça ! « Frank ! On devait fêter Noël, tous ensemble ! Frank !! » Le troisième Allemand s'approcha, et lui demanda de dire tout ce qu'elle savait. Après ça, elle serait libérée. Mais Manon n'avait rien à dire. Devant ce que l'Allemand pensait être de la résistance, il attrapa un petit couteau et commença par entailler légèrement la peau de la jeune femme, qui ne pouvait de toute manière rien dire. Au bout d'un certain temps, l'agacement du bourreau se fit sentir. Il avait abandonné le couteau depuis un certain temps pour passer à des méthodes plus... Sanglantes... Le jeune allemand lui demanda une dernière fois de lui dire ce qu'elle savait, avant de se retirer dans l'ombre. Il ouvrit la porte lentement. « Frank... JE T'AIME FRANK !... » Frank s'immobilisa quelques secondes, puis sortit de la pièce. Le jeune homme marchait d'un pas rapide dans ces couloirs sombres qu'il ne voulait plus voir. Il se dirigea vers la maison de Manon, et entra sans frapper. Il trouva Rosalie, en pleur, sur son fauteuil. Frank s'accroupit près d'elle, lui murmurant ''désolé'', avant de quitter la maison. Le lendemain matin, tous les journaux parlaient d'un Allemand qui se serait suicidé. Il serait monter sur le toit d'une haute maison. Il était resté ainsi pendant de longue heures, insultant la France, les Résistants, puis l'Allemagne, la Gestapo et le nazisme. Ensuite, il aurait crier qu'il n'avait rien à faire là, qu'il allait alors rejoindre celle qu'il aimait. Puis il a sauté, et la chute l'a tué. Dans sa botte, on trouva une carte datant du 23 Décembre. Elle était signée Frank, pour la Manon qu'il aime...
- Spoiler:
Le Bret se rend chez Roxane pour aider son ami Cyrano, éprit d'elle. La jeune femme est vêtue d'une longue robe flottante, d'un rose très pâle. La scène se déroule assez tôt, le matin.
LE BRET, ROXANE
LE BRET (saluant bas) : Bonjour, Mademoiselle Roxane.
ROXANE (étonné de le voir) : Bonjour... Que venez vous donc faire ici ?
LE BRET : Je viens vous parler de Cyrano, ma chère amie.
ROXANE : Cyrano ? Mon bon cousin ?
LE BRET : Lui-même. Figurez vous qu'hier, sortit vainqueur de ce duel, Nous nous sommes ensuite retrouvé seuls, arpentant les ruelles. Cyrano c'est soudain arrêté et m'a alors avoué Qu'il portait dans son cœur La femme la plus belle.
ROXANE (douteuse et impatiente) : De qui s'agit-il donc ? Le Bret, dites-le moi !
LE BRET : Mais il s'agit de vous, Roxane ! De vous et de vous seule !
ROXANE (troublée) : Oh ! Mais...
LE BRET : Il m'a confié hier soir, Vous aimez sans pouvoir vous l'avouez : Vous êtes belle et précieuse, C'est son nez, qui l'empêche de vous parler ! Mais au fond, tout au fond de lui, Cyrano le maudit. Il ne peut que vous regarder et vous apprécier, Sans jamais pouvoir être aimé.
ROXANE (attristée): Oh !...
LE BRET : Roxane, l'aimez-vous ?...
ROXANE : Oh... Pauvre Cyrano... Il est mon cousin et un ami de grande valeur, malheureusement, j'ai déjà offert mon cœur, A un jeune homme, si beau... LE BRET : Qui est-ce ?
ROXANE : Je ne connais que son nom : Christian, Mais les regards qui furent échanger pendant La représentation d'hier soir étaient les plus beaux Qu'il me fut alors permis de voir. Et c'est ainsi que mon cœur, c'est idiot, C'est retrouvé prisonnier d'un bonheur dérisoire...
LE BRET (parlant tout bas) : Christian ? Ô mon Dieu. Pauvre Cyrano... (reprenant, plus fort) Mais, vous ne connaissez pas ce jeune homme, bien qu'il soit beau ! Alors que, maître de l'épée et des mots, vous savez tout de Cyrano. Et si ce Christian vous décevez ? N'en seriez-vous pas Blessée ?
ROXANE : Peut-être ne lui ai-je jamais parlé, Mais je pense le connaître assez Pour savoir qui il est.
LE BRET (insistant) : Êtes vous certaine de vos sentiments ? On s'y perd facilement... Peut-être n'est-il pas fort beau, Mais bon et fort est Cyrano. S'il se bat chaque jour, c'est pour briller à vos yeux, Et vous voir heureuse, c'est par dessus-tout ce qu'il veut. Même s'il n'y paraît pas, Cyrano est profondément blessé par son trop grand nez... Et chaque jour, s'il le défend, c'est pour, à vos yeux, ne pas être trop laid.
ROXANE : Le Bret, cessez de me faire culpabiliser ! Cyrano est mon cousin, je n'aurais put l'aimer D'une autre façon que celle dont je l'aime aujourd'hui, Et qui fais de lui le plus grand de mes amis.
LE BRET : Roxane...
ROXANE : Le Bret, cette discussion est terminée. Je dois à présent vous quitter. (elle sort)
LE BRET : Ô ! Cyrano ! Que suis-je désolé... Réussiras-tu là ou j'ai échoué ?... Auto - Évaluation • Je n'aime pas donner d'avis personnel sur ce que je fais... Donc je serais brève : je suis personnellement moyennement satisfaite de mes textes, et les retouches pas mal de fois, allant de quelques mots à un paragraphe entier. Mon plus gros problèmes sont certainement la relecture, que j'"oublie" souvent de faire... u.u" Poèmes ? Nouvelles ? Quel Genre ? • Un peu de tout ^^ J'suis derrière l'Ordi ~ Parce que la maladie des Geeks, on en guérit pas 8D PUF • Loupiotte Prénom • Valentine Âge • 15 ans Nationalité • Française Sur le Forum ? Mais Comment ? • Comme ça Par un Membre ? Mais Lequel ? • Rain of Anarchy Vous Aimez ? • Ouiii :D Lire, écrire, dessiner, chanter ( Activité Principale •Écriture Les Codes du Règlement • Good by Iris ♥
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| | | Valet de Pique
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 623 Date d'inscription : 26/01/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Te dire je t'aime.
Infos sur toi. PUF: Iris' Logiciel(s): Photofiltre & photoshop Affinités:
| Sujet: Re: Loupiotte ~ Jeu 14 Juil - 18:21 | |
| Bienvenue ;D Confirmée pour moi, codes good. par contre faut que ton nom sois Plume d'Ange x] Mais tu es ... ? La Plume d'Ange de LW ? |
| | | Mélopée du Cygne
Méli : admine ♠. Le monde n'a de sens que si tu lui en donne un.
Infos GraphisteMessages : 327 Date d'inscription : 13/01/2011 Age : 25 Et le pingouin ? : Le pingouin, il aime le chocolat. ♥
Infos sur toi. PUF: Méli, Pot de Miel :3 Logiciel(s): Photophiltre ( personne n'insulte Tofiltre èé .. a part moi x) Affinités:
| Sujet: Re: Loupiotte ~ Jeu 14 Juil - 19:03 | |
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Welcoome =D. Oh pareil ; Lire, écrire, chanter **. //CRÈVE// J'ai lu que le premier des textes, donc je ne peux pas encore juger ton rang, mais je l'aime beaucoup ! Tu décris très bien, et je trouve que ça touche beaucoup. Enfin x D. Ce que je veux dire, c'est que je pense qu'on est pleins à être dans le cas de ton personnage o/. Mais je dis ça, je dis riiien * sors *. Allez, dès très bientôt t'auras ton rang ; 3.
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| | | Invité
Invité
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| Sujet: Re: Loupiotte ~ Ven 15 Juil - 14:13 | |
| Merci vous deux :3
Anarchy > Oui, c'est bien moi (: Azur > Pour le premier texte, il s'agissait d'une rédaction où l'on devait faire son autoportrait x)
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| | | Mélopée du Cygne
Méli : admine ♠. Le monde n'a de sens que si tu lui en donne un.
Infos GraphisteMessages : 327 Date d'inscription : 13/01/2011 Age : 25 Et le pingouin ? : Le pingouin, il aime le chocolat. ♥
Infos sur toi. PUF: Méli, Pot de Miel :3 Logiciel(s): Photophiltre ( personne n'insulte Tofiltre èé .. a part moi x) Affinités:
| Sujet: Re: Loupiotte ~ Mar 19 Juil - 11:56 | |
| Oh alors, bien bien * fuiis *. Le premier texte est magnifique, et le deuxième est à la fois triste et beau à en pleurer TT. Le troisième ne nous montre pas vraiment tes talents puisque c'est juste un dialogue x D .. mais les trois premiers me suffissent ; ). Pour moi tu es Plume Confirmée *O*. Donc, tu es la Maison des Souffles (: Vas vite te recenser et amuse toi bien sur le fow ♥. Je verrouille pas au cas où d'autre membres voudrait de souhaitez la bienvenue, ou si Nuity - Chou ( la fonda ) passerait ♥.
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| | | Invité
Invité
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| Sujet: Re: Loupiotte ~ Ven 22 Juil - 9:00 | |
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| | | Black Morning.
Nuity : fonda ♣. Dis... T'as pas un mouchoir ?
Infos GraphisteMessages : 389 Date d'inscription : 07/04/2010 Et le pingouin ? : Salut Peter. ♥
Infos sur toi. PUF: Nuity. Vous retrouverez sur mes créations le fameux "Tonaari design 2012". Logiciel(s): Photoshop CS4, avec des bases pour GIMP et Photofiltre. Affinités:
| Sujet: Re: Loupiotte ~ Dim 14 Aoû - 13:52 | |
| I'm here (a) En fait 'hésite entre Plume et Confirmée. Je sais pas, il y a un morceau qui manque, peut-être, et surtout, il y a pas mal de fautes d'orthographes... Mais bon, comme Méli me dis Confirmée, et que tu me dis que tu ne te relis pas souvent, je te laisse Confirmée ; ). Je locke, bon jeu ^^ |
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| Sujet: Re: Loupiotte ~ | |
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