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Cacophonie de Babil
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 61 Date d'inscription : 05/02/2011 Age : 28 Et le pingouin ? : Avoir mon propre cheval, parce que je sais que pour l'instant c'est impossilbe
Infos sur toi. PUF: Graffitti Logiciel(s): Photoshop CS4 + Photofiltre + E-Anim Affinités:
| Sujet: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:04 | |
| Je Graphe ~ Parce que le Graph, c'est coloré 8D
PUF de Graph • Graffitti!! Logiciel(s) • Le plus beau, le plus merveilleux, j'appelle... Photoshop CS4! On t'aime tous!! :3 Niveau • Vu que je suis guerrière partout, guerrière! Temps depuis lequel vous Graphez • Je dédetestable cette question, parce que j'ai pas de mémoire pour ça xD. Je sais pas quand j'ai commencé, donc pas depuis quand je graph'. 4 Exemples de Créas ( sauf si vous débutez ) •
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Auto - Évaluation • Les deux premières sont récentes, et je trouve qu'elles ont un meilleur niveau que les deux autres. Je remplis bien mes fonds, et je suis bonne en typo, si vous regardez les trois premières, ce n'est pas un simple texte collé, il y a du travail, avec des jeux de lumière, des différences de couleurs... Je sais pas m'auto-évaluer, donc je vais vous laisser faire ça xD
J'Écris ~ Parce que l'Écriture, on est encré dedans 8D
PUF d'Écrits • Graffitti Encre & Papier, Pixels & Clavier ? • Pixel et clavier Niveau • Je sais pas Temps depuis lequel vous écrivez • Vous voulez que je vous cite ce que j'ai écrit plus haut? 4 Exemples de Textes • A la base, ils ont tous une présentation, mais je les ai pas avec dans mes dossiers.
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La rencontre avec Kairouan. Le ciel au-dessus de ma tête était bleu-gris. Les nuages cachaient par moment le soleil, mais qu'il gèle ou que la température soit intenable, je voulais aller à l'écurie. D'une main habile, j'attrapai mon vélo, et l'enfourchai. L'allée gravillonner qui menait chez moi, n'était pas simple à passer. Plusieurs fois, la roue avant glissa violemment sur le gravier, me déséquilibrant. Arrivé au bout, je bifurquai à gauche et me retrouvai sur la route. L'allure folle des voitures m'obligeai à rester sur le bas côté.
Quelques minutes plus tard, l'entrée principale de l'écurie me fessait face: "Ecurie des Tulipes". J’attachais mon vélo à la barrière quand j’entendit un cheval hennir. Mon cœur se mit a battre d’excitation. Peut-être qu’elle m’attendait? L’allée principale n’était pas très grande, il y avait à peine une dizaine de box. La carrière se trouvait tout au fond, ainsi que le manège. Mon regard cherchai partout son nom, sa tête, ou même sa queue, mais aucune trace d’elle. Une femme me regardait fureter, et décida de m’interroger. -Tu es la jeune fille qui vient voir Kairouan, c’est ça? Ouf, elle s’avait où se trouvait la jument. -Oui, c’est ça. Vous savez où elle se trouve? -Bien sûr ! Tu vois le troisième box à droite% ? Il y a une petite allée derrière, elle se trouva là. -D’accord, merci ! Je me dirigeai alors vers le box que le femme m’avait montré. Je pénétrai dans l’allée. Aucun bruit, aucun mouvement de signe de vie. Pourtant, il y avait plusieurs box. Soudain, le bruit d’une abreuvoir attira mon attention. Il venait d’un des box du fond. Au pas de course, je le rejoignit. Une silhouette noire se dégagea de l’ombre. Un cheval alezan me fit face. Sa jolie petite tête sortit de l’embrasure de la porte. Je tendit la main, elle la frôla. Mes doigts caressèrent calmement sa ganache. J’étais sûre que c’était elle! Son nom figurait belle et bien sur la plaque de bois, et elle ressemblait à la description qu’on m’en avait fait. Kairouan se trouvait là, devant moi. C’était une jument alezane, avec une petite liste blanche. Son poil était maculé de boue, mais j’avais pensé à tous. De mon sac à dos, je sortis étrille, bouchon, brosse douce et cure-pieds. M’emparant de l’étrille, j’ouvris la porte du box, Kairouan ne bougea pas. Une fois à l’intérieur, elle me regarda, nullement apeurée. Je commençai à lui parler, à m’approcher d’elle. Je tendit une nouvelle fois la main, qu’elle renifla. Enfin, je m’avançai, et posai l’étrille sur son doux poil. Par des gestes énergiques, je dessinai de petits cercles pour lui enlever le boue sèche. Une fois que j’eu fini avec l’étrille, je pris le bouchon. Quand je le passai sur l’encolure, Kairouan l’étirai. Elle semblait aimer qu’on la brosse ici, ou elle aimait qu’on la brosse tout court. Je le serais bien avec le temps. Suivi du bouchon, vient le brosse douce et le cure-pieds. Elle mit un peu de temps à me tendre ses membres, mais elle ne broncha pas que je lui nettoyer les sabots. Elle ne sut juste pas les reposer avec douceur, même si je les reposais moi-même sur le sol.
Je la regardais, quand je me souvins que je devais rentrer pour 17 heures. Je regardai ma montre: 16 heures 47. Bien, un quart d’heure pour rentrer, je pouvais un peu prendre mon temps, mais je me dépêcha quand même, même si quitter si tôt Kairouan ne me plaisais pas. - A demain ma belle!, lui dis-je tendrement.
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Solitude, solitude... Seule, comme a son habitude, errant sans but dans l’infini néant de son inconscience. Des images, les unes plus horribles que les autres, repassaient devant ses yeux, réveillant la lame du couteau qui se plantait dans son cœur, réveillant les souvenirs douloureux, réveillant les larmes de tristesses et de colères. Du coin des ses yeux verts impassible perlaient de fines gouttelettes transparentes, s’écrasant au sol sans un bruit. Aucun signe sur son visage indiqué un quelconque sentiment, comme toujours. Mélancolie Funeste les gardant pour elle, enfermés à double tour dans son cœur, inviolable. Elle ne laissait rien paraître à personne, elle m’en voyait pas l’utilité, pour la chatte tricolore, personne ne devait connaître les sentiments d’un autre, cela ne le regardait pas, mais peu étaient de son avis et elle n’en avait que faire.
Le chemin caillouteux qui menait à la plaine était mouillé de la rosée matinale, le jour venait à peine de se lever. Le ciel était gris clair, remplit de nuages cotonneux qui cachaient le soleil brûlant. Les arbres ne bougeait pas, immobiles à chaque bruit, à chaque mouvement. Leurs feuilles vertes, elles, dansaient à chaque souffle du vent. Mélancolie Funeste marchait délicatement le long de l’allée. Son léger pelage blanc, roux et noir était parsemé de taches de boue marron; il avait plus cette nuit. Ses oreilles étaient rabattus sur sa tête, luttant pour un vent pourtant doux. Ses yeux étaient d’un océan vert uni où des gouttes cristallines venaient troublé le calme de l’onde. Sa respiration était rapide, épuisée par la tristesse. Arrivée en haut de la plaine, la chatte se coucha et ferma les yeux. Elle aurait pu rester ici une éternité si personne n’était venue sa rêverie…
~ ~ Une ombre se faufila près d’elle. Elle sentait le Clan de l’Ombre, et la chatte calico n’eut donc pas a s’inquiéter. Elle ouvrit doucement les yeux et regarda la chatte couleur ébène. Elle était un peu comme Mélancolie Funeste, solitaire, mystérieuse. Mais ce n’est pas pour ça que la guerrière aux yeux verts l’apprécier plus que les autres.
- Bonjour Mélancolie Funeste...
L’interpellée hocha la tête. La jolie chatte noire se coucha en face de Mélancolie Funeste, elle regarda le ciel quelques instants puis la chatte en face d’elle. Mélancolie Funeste, elle, ne regardait rien, pas même Cœur de Panthère, elle était comme invisible. Elle ne pleurait plus, mais une unique larme roula sur sa joue, pour finir sa course sur la petite patte noire et blanche. Elle ne voulait pas que la jeune guerrière en face d’elle se doute de quoi que se soit, mais cette larme lui avait échappé. Elle était en colère contre elle-même, contre ce sentiment qui l’envahissait sans cesse et qu’elle n’avait pu empêcher de se matérialiser sur son dur mais a la fois doux visage. Elle tourna la tête de mécontentement, fuyant le regard ambrée de l’autre guerrière.
~ ~ Mélancolie Funeste écoutait sans un mot Cœur de Panthère. Que savait-elle d’elle ? Rien, justement, comme tout le monde. Elle ne savait pas pourquoi elle se renferma dans son mutisme, pourquoi son cœur était fermé. Mais elle semblait vouloir l’aider.
-Je te dis ça non parce que je te critique mais par conseil. Tu enfouis un chagrin si profond et une haine si puissante en toi, tout au fond de toi, dans ton cœur... Tu es comme prisonnière, prisonnière de tous ces sentiments fort et destructeurs... mais as-tu déjà essayé de t'en délivrer ?
La chatte tricolore écouta toujours la belle féline noire. Son regard vert se posa sur Cœur de Panthère, et elle ouvrit la bouche, geste rare chez elle.
-Je ne veux pas m’en délivrer. Ma vie est comme ça, et elle ne changera pas! Mon chagrin et ma haine font ma force, sans eux, je m’écroulerai, je ne serai plus celle que je suis maintenant.
Ce mots était de glace, froid et dur. Mais elle était persuadée d’avoir raison, peut-être se trompée t-elle, mais elle s’en fichait. Elle avait toujours été comme ça. Mélancolie Funeste se perdit à nouveaux dans ses pensées, ses tristes pensées, qu’elle aimait étrangement.
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Peur bleue. Il neigeait sur la forêt, comme depuis presque 2 semaines. Cela s’était arrêté une ou deux fois, pour reprendre de plus belle. Tous les animaux étaient terrés dans leur tanière, à l’abris du froid mordant. Même les chats des Clans ne sortaient plus, sauf pour essayer de chasser les dernières proies. Tous ? Non, tous sauf un. Il s’agissait de Morphio, un chat solitaire. Tout comme la neige, il était d’un blanc immaculé, avec un épais pelage qui lui tenait chaud. Il devait être âgé d’approximativement 36 lunes, car il était en pleine forme et fougueux. Il aimait se promener dans la neige, la regarder tomber, se rouler dedans, et sentir le froid toucher sa peau douce. Morphio était un nomade. Il n’avait pas de nid, comme la plupart des chats, et dormait soit dans des tanières abandonnées, soit à la belle étoile, je ne vous dirais pas que c’est ce qu’il préférait. Mais ce soir, il avait prévu de dormir à l’abri, vu le temps et le froid qu’il régnait. Il partit en repérage en fin d’après-midi, surpris par le soleil qui se couché déjà. Il vadrouillait dans toute la forêt, regardant dans les coins et recoins, mais ne trouvant rien. Soit les tanières étaient habités, soit elles étaient inaccessibles à cause de la neige. Morphio faillit renoncer quand il bascula la tête la première dans un trou. Il se releva péniblement, se frotta les yeux plein de poussière et s’assied. Il ne voyait rien dans ce trou sombre, mais sa vue s’habitua peu à peu. Il semblait vide, mais une odeur flottait dans l’air. Malgré tout, elle semblait ancienne, et Morphio décida d’emménager ici. Il sortit de la tanière à la recherche de mousse ou de feuilles pour se faire un nid confortable. Sa recherche se trouva fort concluante. Il y avait un peu plus loin un petit bois dans la forêt qui semblait avoir été épargné par la neige, sûrement grâce aux grands arbres au-dessus, qui lui cachait même la lumière de la lune. Quand Morphio revint dans la tanière, il installa la mousse de façon à pouvoir se coucher en son centre. Une fois sa tache fini, ses pattes le menèrent d’elles-mêmes dehors, il avait faim ! Il ne voyait presque rien dans la nuit noire, mais son flair le guidé. Il le mena vers les racines d’un arbre. Une musaraigne s’y cachait, se croyant à l’abri. Les yeux de Morphio s’habituèrent peu à peu à l’obscurité, et il arriva a discerner l’animal. Il était maigre, et peut vif, peut-être était-il malade ? Morphio ne se posa même pas la question tellement qu’il avait faim et glissa une patte meurtrière vers le rongeur. Un petit couinement et le voilà mort. Le solitaire le sortit comme il put et l’amena dans sa tanière. Il termina rapidement son repas, qui n’avait pas tari sa faim mais il savait qu’il ne pourrait avoir mieux. Il se coucha sur sa litière et ferma les yeux. Soudain, un hurlement de loup retentit. Morphio ouvrit les yeux paniqué. Il sentit quelque chose marchait au-dessus de sa tête, puis rentrer dans la tanière. Son cœur battait la chamade, ses oreilles sifflaient, et ses pattes se bougeaient plus. Un grand animal brun apparut devant la chat blanc. Il s’agissait bien d’un loup. Le prédateur écarquilla les yeux devant l’intrus et grogna. Le solitaire gonfla de volume, la tête basse et le dos courbé, en attente d’une quelconque attaque. Il ne s’était jamais battu contre loup mais déjà contre un chien et ces animaux étaient de vrais terreurs. Qu’ils soient blessés, malades, en mauvaise posture ou quoi, ils continuaient à se battre jusqu’à ce que l’un des deux combattants abandonnent ou meurs. Morphio le regarda d’un air mauvais, même si au fond de lui il avait peur. Il voulait l’intimidé, mais le loup fit de même et il avait l’avantage de la carrure. Il faisait le triple du chat. Ses crocs étaient énormes, tout comme ses griffes, et ses pattes faisaient le double de celles de Morphio. Un seul coup de patte et le félin se trouvait pénalisé. Un second hurlement perça la nuit noire. Il devait y avoir un autre loup, mais où, Morphio ne le savait pas. Si ce deuxième loup arrivait, le chat n’avait aucune chance et c’était la fin pour lui. Il essaya de longer les murs en terre de la tanière, sous le regard appuyé de son ennemi. Il le suivait du regard et sauta devant le chat qui sursauta. Il envoya un coup de patte, toutes griffes sortis, qui arriva dans le mur. Il hurla de rage. Morphio en profita pour sauter sur son dos et lui mordre l’échine. Il sentit le sang chaud affluer dans sa bouche. Le loup se roula au sol pour qu’il lâche prise, et pour l’écraser, mais l’errant s’y attendait et se dégagea avant de toucher le sol. L’animal se releva, les yeux grands ouverts, infusés de sang, la gueule ouverte. Il ne devait pas s’être battu depuis un moment. De plus, un étranger dans son abri devait l’énerver. Morphio, lui, avait toujours le poil hérissé, mais ses yeux reflétaient plus la peur. De plus, l’hiver n’avait pas été trop rude pour lui, nourrit par les souris et les rats d’une ferme où il était resté pendant une bonne lune, et c’était maintenant qu’il ressentait l’effet négatif : son ventre avait doublé de volume, il s’était bien engraissé et cela l’handicapé. Le loup sauta vers le chat et réussit à l’attraper. Il ferma sa grande gueule (désolée pour le mot, mais les loups et chiens ont une gueule et les chats une bouche) sur la patte du solitaire qui hurla de douleur. Il sentit même ses os craquaient sous la précision. Heureusement qu’il avait un moral d’acier, sinon il serait déjà évanoui, et donc mort dans les secondes qui suivaient. Le sang coulait à terre et sur les crocs du prédateur. Morphio grinça des dents en faisant bouger sa patte qu’il réussit à ramener vers lui. Il la lécha rapidement et se leva. Maintenant, il était énervé. Il n’était pas qu’on le torture de la sorte, et tenait énormément à ses pattes, car il connaissait un chat qui était paralysé, et il se mourait, et Morphio n’avait pas d’autre choix que de voir son ami dans cet état et cela le faisait souffrir. Il feula, lança un regard noir au loup et sauta sur sa tête. Il griffa là où il put, essayant de toucher les yeux et le museau, les deux endroits fragiles et douloureux du visage d’un animal. Il lui mordit la truffe, mais le loup secoua la tête et le fit tomber à terre. Il en profita pour lui donner un coup de patte qui érafla son dos. Morphio n’avait pas dit son dernier mot et courut aussi vite qu’il put pour passer entre les pattes du loup. Son ennemi ne s’y attendant pas ne fit rien pour l’en empêcher. Le solitaire avait la sortie de la grotte à sa portée, mais ne sortit pas. Il sauta sur la queue du canidé et lui mordit la base, de toutes ses forces. Il crut que sa mâchoire allait y rester tellement il serra. Le loup hurla, couina, cria, et essaya de l’attraper. Morphio glissa et fut obliger de lâcher prise. Le loup se retourna et voulu le mordre. Le chat fit un saut de côté et entendit la mâchoire claquer près de son oreille. Il se retourna et fit la sortie. Il courut et sortit à l’air libre. Le loup le regardait partir dans la nuit, essoufflé. Aujourd’hui, il n’allait pas lui courir après, il était fatigué, mais se jura que s’il le retrouvait, ce chat mourra.
Morphio continua a courir sur quelques mètres et s’arrêta quand il sentit le danger passé. Il s’étala dans la neige et ferma les yeux, fatigué.
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Avec présenation: Pourquoi la haine s'abat-elle comme cela sur la faiblesse de certains? Pourquoi peut-elle être éprouvée par des membres d'une famille, envers l'un des leurs? Pourquoi est-elle si meurtrière?
Petite Danse était seule, une chose très rare. Elle se trainait vers la rive, un endroit dangereux pour n'importe quel chat. le coeur n'y était pas, ses pensées étaient parties quelques lunes en arrière... Comme toujours, elle avait fuit la surveillance des guerriers de son Clan, pour vagabonder dans la forêt. Elle savait même où se trouvait les frontières. Habituellement, Patte Noire l'accompagnait, mais aujourd'hui il n'était pas là et elle était tout de même sorti, pour essayer de vaincre sa tristesse, parce que Petite Danse était un chaton au passé difficile, et quand elle se retrouvait seule, il retombait sur ses frêles épaules. Son frère était mort, et ses parents lui en voulaient, alors qu'elle n'avait rien fait. Une maladie l'avait tué, en quelques semaines. Petite Danse avait survécu, très peu atteinte, mais les deux chats qu'elle avait pour parents lui en voulaient. Ils auraient préféré qu'elle meurt. Une réalité bien difficile a avaler pour quelconque mortel.
Petite Danse regarda les vagues fouettaient la falaise. Elle pouvait tomber de là où elle était, mais elle n'en avait que faire. Ce paysage mélancolique lui plaisait, et elle ne se lassait jamais de cette vision. La saison rendait la mer plus agitée que d'habitude, et le ressac était violant, éclaboussant d'écume la pierre beige. L'eau avait une teinte bleue grisâtre, pas très jolie. Des algues vertes flottaient à la surface. La mer n'était pas transparent, et il était impossible de savoir si c'était profond. Petite Danse comprit pourquoi des chats s'y étaient noyés, la puissance des flots pouvaient emporter n'importe qui, n'importe quoi.
Petite Danse se coucha dans l'herbe douce. Elle regardait l'au-delà, et se demanda ce qui pouvait bien se trouvait après la mer. Peut-être que le Clan des Etoiles dormait là-bas avant d'apparaitre dans le ciel nocturne. Elle aurait aimé aller voir ce qui s'y trouvait, mais elle savait que c'était impossible, sauf peut-être si... Elle rejoignait le Clan ancestral. Cette idée traversa sa tête comme un éclair. Il lui était impensable d'abandonner les siens, surtout Patte Noire. Les deux chatons étaient toujours là l'un pour l'autre, et voir son meilleur ami disparaitre serait horrible pour la rouquine et elle ne voulait pas lui faire vivre cela. Mais en même temps, c'était une façon d'éviter la haine de sa mère et de son père. Elle secoua la tête pour chasser cette option, elle voulait devenir apprentie, puis guerrière, pour leur montrer que sans eux, elle deviendrait forte.
Auto - Évaluation • J'écris plutôt bien, mais j'arrive pas à faire plus de 20 lignes en RP pour les suites Poèmes ? Nouvelles ? Quel Genre ? • Tout genre d'histoires.
J'suis derrière l'Ordi ~ Parce que la maladie des Geeks, on en guérit pas 8D
PUF • Graffitti Prénom • Manon Âge • 15 ans Nationalité • Française, d'origine Italienne Sur le Forum ? Mais Comment ? • Mais comment? Bah comme ça, je t'explique. Quelqu'un (qui se reconnaitra) a posté une pub. Dans cette pub, il y avait ce qu'on appelle un lien, qui commence par [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] il a juste suffit que je clique dessus! Magnifique non? Par un Membre ? Mais Lequel ? • Downn, avec deux "n", parce que j'ai entendu dire que avec un seul, ça l'avait traumatisé. Vous Aimez ? • Les chevaux! Ma raison de vivre! Activité Principale • Graphisme Les Codes du Règlement • Yeah, c'était délicieux. [ Nuity ]
Dernière édition par Cacophonie de Babil le Sam 5 Fév - 13:59, édité 1 fois |
| | | Valet de Pique
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 623 Date d'inscription : 26/01/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Te dire je t'aime.
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:15 | |
| Mon dieu j'adore ta deuxième créa !
bref' bienvenue ! je vais être franche j'ai eu la flemme de lire tes texte mais je vais le faire dès que j'aurai manger XD Codes bon et pour le graph attendons l'avis de Blasphème Chimérique. |
| | | Cacophonie de Babil
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 61 Date d'inscription : 05/02/2011 Age : 28 Et le pingouin ? : Avoir mon propre cheval, parce que je sais que pour l'instant c'est impossilbe
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:17 | |
| Merci xD
J'ai une petite question, en écriture, c'est que du poème ? U_u |
| | | Valet de Pique
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 623 Date d'inscription : 26/01/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Te dire je t'aime.
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:28 | |
| Euh... non tu peux écrire des poèmes et des textes/nouvelles |
| | | Cacophonie de Babil
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:30 | |
| Enfin je veux dire pour les cours, parce que j'ai jeté un coup d'oeil, et Nuity demande que des poèmes xD Mais j'ai pas l'intention de savoir écrire des poèmes, c'est que les RPs ou histoires qui m'intéressent :S |
| | | Valet de Pique
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:39 | |
| Hum... Pour les cours Nuity' demande un poème surtout pour detestable vos aptitudes^^ mais bien sur qu'elle pourra te donner des cours pour les nouvelles et texte. Enfin moi je suis un cas particulier ; j'écris que des poèmes et je suis plume mais Nuity' veut que j’écrive des nouvelles pour passer confirmé --" bref' on s'éloigne su sujet mais n'hésite pas si tu as d'autres question. Je vais lire tes textes.
Dernière édition par Euthanasie Suffocante le Sam 5 Fév - 11:45, édité 1 fois |
| | | Cacophonie de Babil
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:40 | |
| |
| | | Nuit de Corail
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 158 Date d'inscription : 02/02/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Bouffer des cornichons. *w*
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:48 | |
| Un pingouin qui fait "Piii !" Quelles merveilleuses connaissances x) Bienvenue ! =D
|
| | | Cacophonie de Babil
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:52 | |
| Oui bon hein! xD Je sais pas ça fait quel bruit un pingouin moi! x') |
| | | Valet de Pique
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 623 Date d'inscription : 26/01/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Te dire je t'aime.
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:55 | |
| De rien =) Je suis là pour ça.
Hum j'ai peur de dire une bêtise mais je pense que tu es minimum Plume et je m'hasarderai même à dire Plume Confirmé. J'aime beaucoup ton deuxième texte. Je trouve que au travers de tes textes on comprend bien ce que ressentent tes personnages, vraiment les sentiments sont bien compris et pas du tout confus et grâce au troisième texte tu prouve aussi que tu peux parler d'actions concrètes.
Peut être que je dis une énorme connerie quand en disant confirmé mais attendons de savoir ce que pense Nuity'. |
| | | Nuit de Corail
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 158 Date d'inscription : 02/02/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Bouffer des cornichons. *w*
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 11:56 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Heureusement que certains sont instruits 8D Bref. Pour les créations, je dirais le rang au-dessus de Guerrier, mais j'ai oublié le nom (a) |
| | | Valet de Pique
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 623 Date d'inscription : 26/01/2011 Age : 26 Et le pingouin ? : Te dire je t'aime.
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Sam 5 Fév - 12:00 | |
| HUm oui je suis d'accord ou Guerrier ou Lieutenant enfin grand guerrier quoi xD Bah oui y a bien grand aspirant donc grand guerrier |
| | | Black Morning.
Nuity : fonda ♣. Dis... T'as pas un mouchoir ?
Infos GraphisteMessages : 389 Date d'inscription : 07/04/2010 Et le pingouin ? : Salut Peter. ♥
Infos sur toi. PUF: Nuity. Vous retrouverez sur mes créations le fameux "Tonaari design 2012". Logiciel(s): Photoshop CS4, avec des bases pour GIMP et Photofiltre. Affinités:
| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Dim 6 Fév - 8:08 | |
| Je vais lire tes textes ma Graffiti - Chou - Chan [ c'est Nuity ] Pour le Graphisme tu es guerrière bien sûr !! = ) Bienvenue ^-^ J'adore ton nom ÉDITION ; Tu es Plume pour l'écriture. Travailles un peu ton orthographe & tu passeras très facilement Confirmée ^-^ Je valide = ) |
| | | Cacophonie de Babil
Visiteur. Oh, dans quel monde es-tu tombé... ?
Infos GraphisteMessages : 61 Date d'inscription : 05/02/2011 Age : 28 Et le pingouin ? : Avoir mon propre cheval, parce que je sais que pour l'instant c'est impossilbe
Infos sur toi. PUF: Graffitti Logiciel(s): Photoshop CS4 + Photofiltre + E-Anim Affinités:
| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Dim 6 Fév - 19:27 | |
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| | | Black Morning.
Nuity : fonda ♣. Dis... T'as pas un mouchoir ?
Infos GraphisteMessages : 389 Date d'inscription : 07/04/2010 Et le pingouin ? : Salut Peter. ♥
Infos sur toi. PUF: Nuity. Vous retrouverez sur mes créations le fameux "Tonaari design 2012". Logiciel(s): Photoshop CS4, avec des bases pour GIMP et Photofiltre. Affinités:
| Sujet: Re: Cacophonie de Babil Lun 7 Fév - 17:42 | |
| Allez, va vite choisir un Clan <33 ÉDITION ; Ah bah mxrde tu la déjà fait I_I Désolée |
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| Sujet: Re: Cacophonie de Babil | |
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